jeudi 27 novembre 2014

Simplicité et délicatesse en robe Lambert Créations 2015

Un bureau sous les toits c'est magique ! Cela vous emmène direct à la rêverie … quoique, faut voir …il n'y a même pas de chats se promenant sur le faite du toit, pas de nuages en forme d'animaux … (jusque là c'est plutôt flat, je vous l'accorde, mais continuez à me lire). 
Une pluie légère s'amuse à dessiner des points sur ma vitre de toit, le ciel devient une mère calme et huileuse. Le tableau prend enfin forme.
J'y vois une jeune femme sur un ponton qui se dirige vers moi. Sa robe me fascine, elle est étonnement simple, le mariage des matières et la légèreté de sa forme me transportent dans ce qui ce qui est un véritable coup de cœur.


(c) Lambert Créations 2015

Je m'empresse d'en savoir un peu plus sur cette robe.
Je découvre une marque : Lambert Créations, du cousu en France depuis 40 ans et une collection 2015, belle, belle, belle.

Il ne m'en fallait pas plus pour vous embarquer dans la confidence des coulisses de cette belle maison.        

1. Comment est née la Maison Lambert Créations ?
En 1962 , Lambert Créations confectionnait des fleurs et des accessoires  pour les mariées. Ce n'est qu'à partir de 1972 que la marque s'est véritablement lancée dans la fabrication de robes de mariée (si vous allez sur notre page Facebook vous pourrez voir “la galerie de l'évolution” de Lambert Créations). Cela fait déjà plus de 40 ans et  l'atelier est  toujours là, à Rennes. Nous sommes très fiers d'avoir pu sauvegarder notre activité et notre savoir-faire en France.

(c) Lambert Créations 2015

2. Si vous deviez résumer en quelques mots l'esprit de la Maison Lambert Créations que diriez-vous ?
C'est une marque d'allure, sobre et chic, à la fois intemporelle et dans l'air du temps.

(c) Lambert Créations 2015

3. Du « cousu » à Rennes : comment se déroule la création d'une robe de mariée dans vos ateliers ?
Nous travaillons en collaboration avec une jeune styliste parisienne qui sait insuffler un vent de créativité et de nouveauté à chaque collection tout en conservant l'esprit de la Maison. Par ailleurs, nous échangeons régulièrement des informations avec le réseau de détaillants qui distribue notre marque car il est primordial  de rester en phase avec le terrain et les demandes des futures mariées. Chaque  modèle commandé par une boutique est réalisé, à l'unité, avec le plus grand soin par des couturières expérimentées. Par ailleurs, notre expérience et notre savoir-faire nous permettent de proposer  une multitude de services  : sur mesure, robes pour femmes enceintes, personnalisation des modèles, très grandes tailles,  délai de livraison rapide …


(c) Lambert Créations 2015

4. Comment se définit la mariée Lambert Créations millésime 2015 ? 
C'est une mariée féminine et naturelle ,“tendance” , un peu bohème mais “bohème chic” , en quête de légèreté, de  fluidité, de jolis dos , de fines dentelles, de petits “détails” qui finissent de personnaliser une robe.

(c) Lambert Créations 2015

5. Si vous étiez un « génie » sortant d'une lampe magique, quels seraient les 3 précieux conseils que vous donneriez aux futures mariées. 

- Pour choisir votre robe,  “Ecoutez-vous” , “Ecoutez vos envies” et, si vous souhaitez des avis, un ou deux seront bien suffisants. Trop d'avis tuent le choix ! 
- Faites vous plaisir, n'ayez pas d'a priori, ne vous posez pas trop de questions, pour savoir si une robe vous va, il faut l'essayer !
- Restez vous même, choisissez une robe qui vous ressemble, dans laquelle vous vous sentez à l'aise, libre de vos mouvements.

(c) Lambert Créations 2015
Atelier Lambert Créations
44, rue Louis Kerautret Botmel
35000 Rennes
Tél. : 02 99 50 63 88
Fax. : 02 99 53 95 56
contact@lambert-creations.com


Points de vente

lundi 17 novembre 2014

T'as le look, logo !

- The « Miss » : tu comprends, je veux un truc différent, une image moins « gnangnan », moins fleur bleue qui correspond plus au ton de mes posts. Tu vois ?
- The « F » : Ouais, ouais, je vois tout à fait. Il te faudrait un truc plus "urbain", plus direct, moins fleurs et fanfreluches.
- The « Miss » : Carrément "anti-princesse" et dans l’esprit de « Andy, dis-moi oui ».*

Tiens ? Une fois n’est pas coutume, on est tombé rapidement d’accord Mister « F » et moi (hey ! Mais ça veut dire que je prends de plus en plus son style, ça ne va plus du tout !).

Donc, l’idée est bien là et j’ai surtout eu la chance de rencontrer sur mon parcours Éléonore Mestdagh, designer, graphiste et illustratrice à l’univers empreint de beauté et de modernité, qui m’a bien aidée sur ce projet.

Un nouveau regard, une nouvelle facette de ma personnalité « patine » le blog, comme mon envie d’être plus spontanée dans mes écrits, de me faire plaisir et que vous ayez du plaisir à me lire.

Il était de ce fait tout naturel que la charte graphique, les couleurs, la taille des images, évoluent aussi après 2 ans de partage de mes bulles.

« Keep in touch » sur mon évolution d’ici les 2 prochaines années.


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* Pour la petite histoire cela n’a rien à voir avec le « Festival Andy » du mariage. Car, bien avant le lancement dudit Festival, c’est en 2012 que Miss Patatounette a failli, mais n’a pas osé, au final, utiliser cette chanson mythique des Rita  pour l’entrée de sa cérémonie laïque.

jeudi 13 novembre 2014

La demande de Monsieur à Mademoiselle

Lorsque j’ai reçu ma carte de « grand voyageur club » au look bien « gold », bien « VIP », sans avoir rien demandé à personne, et surtout pas à monsieur SNCF,  je me suis demandé :
« C’est quoi le programme ?
-   « Plus tu voyages, plus tu gagnes ! »

C’est donc ça… ce sont en moyenne mes 20 heures par semaine, mes 100 heures par mois et mes 1200 heures par an, soit, dans le jargon de la vraie vie, mes 50 jours par an passés dans les trains, qui me valent d’être admise dans le club très, très select des salons SNCF avec mes compères aux yeux cernés, à la mine grise et au moral proche du « y a-t-il une vie après la mort ».

C’est dans ce décor de « no way » et un peu en panne d’inspiration (merci « amie grande voyageuse » qui saura se reconnaître de lancer des idées aussi farfelues ; en même temps, Miss Patatounette est grande joueuse mais ne s’attendait pas à ce Désert des Tartares*) qu’à germé l’idée d’interroger monsieur et madame tout le monde sur la fameuse genèse du « C’était comment ta demande en mariage, papa / maman ? ». Car il faut bien se l’avouer, hormis les enfants personne n’ose poser cette question indiscrète. En règle générale, la version soft c’est « … et vous êtes ensemble depuis longtemps ? Vous vous êtes rencontrés comment ? » mais personne ne poserait la question si intime du « Il est venu comment le OUI ? ».

Je me suis rendue compte de cette grande pudeur lorsque j’ai lancé le thème sur FB, lequel n’a pas récolté les suffrages escomptés, et surtout lorsque j’ai commencé mon micro-trottoir et qu’on m’a regardé avec des yeux de merlan frit. J’ai tout de suite compris que j’allais ramer longtemps, longtemps… mais au final je suis arrivée à bon port.

Alors, merci à Enzo, No&Ni, Eve, Emeline et Céline de m’avoir livré un peu de votre « histoire d’amour ».
Voici des bribes de vies émouvantes, drôles, enfantines, sincères, simples comme Miss Patatounette les aime.

Enjoy

© Ela & The Poppies
Enzo, 38 ans, marié depuis 3 ans

« Je voulais surprendre ma douce et belle.
Quel meilleur endroit que de prendre la boîte qui a portée sa bague de fiançailles et d'y mettre un « taralli » (petit gâteau apéritif sec à l'huile d'olive en forme d'anneau), l’une des spécialités de sa région familiale en Italie.

Il me fallait aussi un moment symbolique. L'idée m’est venue de nous inscrire à la course «  Paris-Versailles » et de la faire en couple. C’est ainsi que la bague alimentaire bien cachée dans mon sac à dos a parcouru les 16,3 km avec sa fameuse côte de 2,1 km.

A l'arrivée de notre petite balade dominicale je lui laisse le temps de respirer.
Je la retrouve au point de rassemblement « Rome ».
Je la regarde, je sors la boîte, j'ouvre délicatement l’écrin et lui demande si elle veut devenir ma femme.
Elle me regarde surprise, chamboulée et fatiguée, et me dit « merci » en dévorant la bague.
J'ai réussi à lui arracher un « je vais réfléchir » - flop, pour l’instant romantique,  je sais…

Depuis, cette âme délicate et douce m'a donnée son cœur et s'est lancée dans l'aventure avec moi ».
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No&Ni, mariée depuis 39 ans

« J'ai connu mon futur mari en novembre 1974. Neuf jours après, j'allais avoir 19 ans.

Mes parents n'habitaient pas en France à ce moment-là.

J'ai commencé à les habituer au prénom de mon "copain", au fur et à mesure, dans les lettres que je leur écrivais (car pas de téléphone et encore moins de mails).

En avril 1975, quand ils sont arrivés en France pour un congé de 2 mois, j'ai fait les présentations et mes beaux-parents les ont invités pour la Pentecôte 75. Mais toujours rien d'officiel.

C'est en novembre 75, pour mes 20 ans, que mon « copain », sur les conseils de sa mère, m'a emmené chez un bijoutier pour me faire choisir ... une paire de boucle d'oreilles pour oreilles percées ... sauf que je n'avais pas les oreilles percées !

Ma belle-mère lui avait dit que c'était le seul bijou que je n'avais pas et pour cause. Elle-même n'avait pas remarqué que mes oreilles n'étaient pas percées ! Grrrrr !!!

Je n'ai pas osé devant la bijoutière (qui était la mère de la femme du frère aîné -autrement dit la belle-mère de mon futur beau-frère) contredire cette idée qu'il trouvait originale car il se démarquait par rapport aux autres qui offraient une bague.
Bref, je me suis fait percer les oreilles ce jour-là - à contrecœur je l'avoue car je ne m'attendais pas à me faire "charcuter"- mais maintenant je suis très contente de pouvoir porter ce genre de bijou.

Remarque : encore à cette époque, le fait qu'un homme offre un bijou à une femme signifiait qu'il voulait officialiser et confirmer son choix. Nous n'avons jamais fait de demande officielle en mariage mais pour nos parents respectifs, cette démarche (offrir un bijou) y répondait. »
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Eve, 35 ans, mariée depuis 7 ans

« J’avais fait de la future demande en mariage un jeu : à chaque fois qu’il me tenait la main, m’appelait par mon prénom… je répondais « Oui ...tu veux me demander quelque chose… ? ».

Il est vrai que j’avais envie de revêtir également ce statut « d’épouse », face à un homme divorcé ! J’avais d’ailleurs repéré (lourdement), dans la vitrine d’un bijoutier, la bague que j’aimerais qu’il m’offre !

Pourtant, il m’avait prévenue : sa demande ne surviendrait certainement pas un 14 février (déjà fait avec « l’Autre » !).

C’est donc en toute innocence que, revenant du travail le soir, j’ai pu découvrir sur la table de la salle à manger une petite carte pour la Fête des Amoureux.

Je l’ai lue devant lui, très scolairement. Page de gauche d’abord (bonne fête ma Valentine, tu as changé ma vie, je t’aime et blablabla) avant de découvrir en lettres capitales, précédé d’une grosse flèche, sur la page de droite le fameux VEUX TU M’EPOUSER ?

Sur la table, d’ailleurs, mon amoureux m’a fait remarquer qu’il y avait un petit porte-photo, auquel était accrochée la fameuse bague de fiançailles … je ne l’avais même pas vue !

Alors là, même si je suis pourtant une cérébrale et que j’ai parfois du mal à ressentir passionnément les choses, mon petit cœur s’est vraiment serré, j’étais émue de vivre « LE MOMENT », de sentir au plus profond de mon être qu’il s’agissait d’un tournant dans ma vie. Je lui ai répondu « OOOOOOOOuuuuuuuuuuiiiiiii », avant que nous allions sortir le chien ensemble, car c’est au quotidien qu’on écrit l’amour, n’est-ce-pas ?

A noter- Le dîner au restaurant qui suivit cette demande eut une saveur particulière en ce 14 février 2006 : c’était la première étape de la construction de notre famille ».
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Emeline, mariée depuis 3 ans

« Ma demande en mariage a eu lieu lors d'un week-end en amoureux dans le sud de la France.

Tout le week-end a été magique: promenades, visites, baignade et petits restos. Tout ce que l'on aime !
Mais la grande surprise s'est déroulée le samedi soir : apéro au champagne, petits fours et petits mots d'amour...
Nous avions tous les deux les yeux embués et le sourire aux lèvres.
Il y avait du monde tout autour mais c'est comme si nous étions seuls au monde, dans notre bulle.
Cliché comme description ?! Peut-être, mais je ne trouve pas d'autres mots pour décrire cet instant et ces émotions si spéciales ! »
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Céline, pacsée depuis 4 ans

« Nous ne sommes pas encore mariés mais le « projet » mariage est quelque chose dont on parle entre nous et qui nous tient à cœur. Sylvain m'a toujours dit : « j'attends que ce soit toi qui me demande », par peur de me brusquer et, sans doute aussi, pour bousculer les traditions… je ne sais comment ça sera, je ne le prévois pas encore mais il est évident que ce sera une demande qui sortira de l'ordinaire.

Pour notre PACS, nous avons pris la décision conjointement. Nous attendions notre petite fille et nous avions le besoin d'officialiser notre couple aux yeux de nos familles et proches, de nous protéger.
Tout a été très administratif. Je me rappelle de l'austérité du lieu où il y avait placardé sur les quatre murs de la salle d'attente « Interdit de fumer » et « Interdit d'utiliser son portable » et moi j'avais l'impression que le mot « interdit » me poursuivait presque jusqu'à la signature.

Notre dossier sous les bras, nous voilà dans notre restau fétiche témoin de nos moments de vie importants. Nous sommes heureux de ce moment, qui est un nouveau pas de notre couple vers la vie commune.
Nous nous offrons nos anneaux que volontairement nous n'avons pas souhaité graver de la date du PACS.
C'est peut être tout simplement cela notre demande en mariage : cet échange symbolique et tacite tourné vers l'infini. »

* Je cite ce livre de Dino Buzzati qui m’évoque  l’attente interminable et vaine des protagonistes.

vendredi 7 novembre 2014

La minute de bonheur : un mariage aux allures indie, folk & vegan

Un coup de cœur pour ce mariage à l'ambiance hippie chic aux couleurs alter m ..., aux chemises fleuries, au bar à fleurs fraîches, au van veggie ...
Que c'est bon la simplicité !

Jess + Dave from studio 
something photography on Vimeo.